2024
Mélancolia
Installation immersive mêlant esthétique rétro-glitch, narration silencieuse et ambiance apocalyptique, autour du thème de la mélancolie.
Audiovisuel
Exposition
Contexte
Dans le cadre d’une exposition dans la salle La Conciergerie, j’ai eu carte blanche pour interpréter le thème "Mélancolia". J’ai choisi de m’éloigner d’une vision romantique ou poétique du mot, pour proposer une lecture plus brute, plus viscérale. L’idée était de créer une installation vidéo capable de provoquer une vraie réaction émotionnelle chez le spectateur.
Enjeux
Avec zéro budget, et uniquement du matériel récupéré ou improvisé, le défi était autant artistique que technique. Je voulais plonger le public dans un univers sombre et immersif, en utilisant des moyens simples mais forts visuellement. Tout l’enjeu était de réussir à créer un vrai malaise visuel et narratif, sans appui sonore majeur ni narration explicite.
Concept
Le projet met en scène un personnage trouble, presque menaçant, qui évolue dans un monde post-apocalyptique rétro-futuriste. Son rapport direct avec la caméra crée une tension constante, comme s’il cherchait à communiquer sans y parvenir. L’univers visuel est glitché, saturé de textures VHS, d’effets de distorsion et d’une lumière crue. Ici, la mélancolie est perçue comme un souvenir lourd, encombrant, qu’on porte sans le comprendre.
C’est une douleur muette, qui grésille en boucle.
J’ai travaillé chaque plan en post-prod pour renforcer ce sentiment d’étrangeté : textures numériques sales, filtres VHS, désaturation, contrastes froids. Le tout a été projeté dans une pièce noire, uniquement éclairée par les vidéos elles-mêmes. Plusieurs écrans diffusaient des boucles courtes, renforçant le sentiment d’être coincé dans un souvenir qui tourne en boucle.
More Works
(GQ® — 02)
©2024
2024
Mélancolia
Installation immersive mêlant esthétique rétro-glitch, narration silencieuse et ambiance apocalyptique, autour du thème de la mélancolie.
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Exposition
Contexte
Dans le cadre d’une exposition dans la salle La Conciergerie, j’ai eu carte blanche pour interpréter le thème "Mélancolia". J’ai choisi de m’éloigner d’une vision romantique ou poétique du mot, pour proposer une lecture plus brute, plus viscérale. L’idée était de créer une installation vidéo capable de provoquer une vraie réaction émotionnelle chez le spectateur.
Enjeux
Avec zéro budget, et uniquement du matériel récupéré ou improvisé, le défi était autant artistique que technique. Je voulais plonger le public dans un univers sombre et immersif, en utilisant des moyens simples mais forts visuellement. Tout l’enjeu était de réussir à créer un vrai malaise visuel et narratif, sans appui sonore majeur ni narration explicite.
Concept
Le projet met en scène un personnage trouble, presque menaçant, qui évolue dans un monde post-apocalyptique rétro-futuriste. Son rapport direct avec la caméra crée une tension constante, comme s’il cherchait à communiquer sans y parvenir. L’univers visuel est glitché, saturé de textures VHS, d’effets de distorsion et d’une lumière crue. Ici, la mélancolie est perçue comme un souvenir lourd, encombrant, qu’on porte sans le comprendre.
C’est une douleur muette, qui grésille en boucle.
J’ai travaillé chaque plan en post-prod pour renforcer ce sentiment d’étrangeté : textures numériques sales, filtres VHS, désaturation, contrastes froids. Le tout a été projeté dans une pièce noire, uniquement éclairée par les vidéos elles-mêmes. Plusieurs écrans diffusaient des boucles courtes, renforçant le sentiment d’être coincé dans un souvenir qui tourne en boucle.
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Installation immersive mêlant esthétique rétro-glitch, narration silencieuse et ambiance apocalyptique, autour du thème de la mélancolie.
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Dans le cadre d’une exposition dans la salle La Conciergerie, j’ai eu carte blanche pour interpréter le thème "Mélancolia". J’ai choisi de m’éloigner d’une vision romantique ou poétique du mot, pour proposer une lecture plus brute, plus viscérale. L’idée était de créer une installation vidéo capable de provoquer une vraie réaction émotionnelle chez le spectateur.
Enjeux
Avec zéro budget, et uniquement du matériel récupéré ou improvisé, le défi était autant artistique que technique. Je voulais plonger le public dans un univers sombre et immersif, en utilisant des moyens simples mais forts visuellement. Tout l’enjeu était de réussir à créer un vrai malaise visuel et narratif, sans appui sonore majeur ni narration explicite.
Concept
Le projet met en scène un personnage trouble, presque menaçant, qui évolue dans un monde post-apocalyptique rétro-futuriste. Son rapport direct avec la caméra crée une tension constante, comme s’il cherchait à communiquer sans y parvenir. L’univers visuel est glitché, saturé de textures VHS, d’effets de distorsion et d’une lumière crue. Ici, la mélancolie est perçue comme un souvenir lourd, encombrant, qu’on porte sans le comprendre.
C’est une douleur muette, qui grésille en boucle.
J’ai travaillé chaque plan en post-prod pour renforcer ce sentiment d’étrangeté : textures numériques sales, filtres VHS, désaturation, contrastes froids. Le tout a été projeté dans une pièce noire, uniquement éclairée par les vidéos elles-mêmes. Plusieurs écrans diffusaient des boucles courtes, renforçant le sentiment d’être coincé dans un souvenir qui tourne en boucle.
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